Le 8 mars... subjectif
 

Canal a décidé de bannir de son grand journal les hommes, même derrière la caméras.

On a pas fini d'innover pour ne pas affronter les problèmes.
ça s'appelle le pays des droit de l'homme.

Dans 3 jours ce 8 mars, j'ai acheté des fleurs (cueillette dans les champs)pour ma mére.
tametut d ageruğ(un trésor)
ça me rappelle un poéme de Muḥya (sani teriḍ yenqes)

j'ai la traduction aka ih

Il dit: pourquoi ésperer ? ula d neṭṭa d aεnur

Il dit aussi : ou est le chemin ?
voici le chemin.
Il est drôle Muhya

Pour moi a Da Twain, le 8 mars, c'est ma mére, ce qu'elle a enduré et subi.
aka ih

Comme toutes les mamans immitin h'emlagh
Nos mamans sont précieuses

J'ai lu un article là-dessus. Je suis mitigée à propos de l'idée...

Pendant des années, j'étais contre l'idée de cette journée. Mais avec le temps, je me dis que ça peut aussi avoir un effet positif et ça permet de voir un peu plus loin que le bout de son nez. Au moins une fois par an, on entend parler de ce que vivent des femmes dans d'autres coins du monde. Si on leur enlève ces 24 heures à des femmes qui n'ont aucun autre espace de parole, il ne restera même pas une seule heure pour elles. Même si c'est peu, c'est au moins ça.

Tenez, il y a des pays dont on entend parler que lorsqu'il y a des guerres ou des conflits. Des pays dont on ne soupçonnait même pas l'existence : qui peut encore situer le Timor oriental sur une carte du monde ?

Ce n'est pas du hors-sujet ! 90% des victimes de guerre sont pour la plupart des femmes et des enfants.

Alors si on peut parler de ces femmes et des souffrances qu'elles vivent déjà en temps de paix, c'est un point positif.

Et puis une petite comparaison sur le droit de vote des femmes :
Allemagne : 1918
France : 1945
La Révolution française est passée par-là mais c'est tout de même une sacrée différence entre les pères fondateurs de l'Europe moderne !


Vigilance constante, rien n'est jamais acquis !

d kunemti d yemlen
akwerfa n tirec nagh

...
nenkeẓ dileqdar n tleli tmetut
w-ig zemren ad yekes i wiyaḍ
ayen yeṭṭnadi iman-is *



* mazighen imula