Lwennas Matoub
 

Il nous a quitté il y a déjà vingt ans.
Le symbole de la lutte identitaire Kabyle.

Son œuvre (musicale et poétique) est raffinée.
Cette boulimie des mots. Une rhétorique et une poésie posée mais qui s'affole par elle même.

écoutez.....

Azul a Da Yidir...
 

L'hommage s'approche...

Uhhh! On voit bien qu'il manque à cette Kabylie attaquée de toute part.

(islamisme, immobilisme et autres symptômes d'un peuple en perdition).

ur d-aγ d-iṣeḥ ucetki
tban sebba,
d-widak ndel di ctawi
iγ yeğğan neεra,

Cette poésie qui s'affole avec les mots. Tu as bien raison.

Sgunfu di Talwit Lwennas.

re
 

Pour en finir avec ce qu'on appelle l'extrémisme Kabyle.
Voilà une chanson traduite en Arabe (siyouplé)
Elle dit quoi?
Il condamne les injustices et les mots se bousculent avec cette belle chanson.
C'est le reste de l'Algérie qui reste à la traine.



Ay aḥlili; pauvre d'eux.

Repose en paix Lunes.
Ta Kabylie et le Djurdjura ne t'oublieront pas.:o

La base de l'édifice Kabyle résiste encore.
On est parti d'un substrat d'amazighité "arabomuz" pour arriver à une Kabylie capable d’insérer les peuples Amaziɣ dans son giron.
Lwennas n'a pas trouvé la vérité absolue, mais le fait savoir à nous, ou nous en sommes.

"imi tideṭṭ teskidb , m-a d amnaɣ alen-iw tura"